El candidato del PP a las elecciones catalanas, Alejandro Fernández, ha asegurado que el Partido Popular de Cataluña (PPC) se abriría a pactar con el Partido Socialista de Cataluña (PSC), de Salvador Illa, siempre que el independentismo “pase a la oposición " et ses « Les politiques toxiques sont exclues de l’équation », en référence aux pactes des socialistes avec les forces indépendantistes.
"Si le séparatisme sort de l'équation, alors les conditions pourront être réunies pour parler", a précisé Fernández ce mercredi dans une interview à RNE, recueillie par Europa Press.
Le candidat « populaire » a prévenu que son parti ne ferait pas confiance aux paroles du candidat du PSC, Salvador Illa, c'est pourquoi il a exigé des « faits » pour entrer dans les conservations d'un éventuel gouvernement socialiste en Catalogne. « Ces faits sont en rupture avec le processus (catalan) et en rupture avec le séparatisme », a souligné.
En ce sens, Alejandro Fernández a souligné que « Puigdemont ne parle pas d'impôts, ni de sécurité citoyenne, ni d'occupation illégale, ni de qualité de vie ». "Il parle de sa vie et de ses miracles", c'est pourquoi, pour le candidat, "ces politiques toxiques ne peuvent pas faire partie du gouvernement de la Generalitat".
De même, interrogé sur l'éventuelle majorité indépendantiste que prédisent les derniers sondages, le populaire a souligné que « Le PP a la clé du changement en Catalogne », parce que, comme il l'a déclaré, « Esquerra Republicana veut revenir à la case de 2012, d'un référendum qui ne mène nulle part ; JxCat et Puigdemont veulent revenir au DUI de 2017, et le PSC se propose comme facilitateur car Sánchez a besoin d'eux.
Concernant ses déclarations de mercredi dans lesquelles Fernández assurait que "tous les Catalans ne sont pas Puigdemont", il a lui-même expliqué que le "nationalisme" a qualifié les Catalans non indépendantistes "de colons et d'envahisseurs", ce qui, selon les alertés, a également provoqué "la réduction de l'arrivée de touristes dans la communauté."
Enfin, concernant la confrontation électorale avec Vox, Fernández a rejeté la politique du parti de Santiago Abascal. "Ils font des approches qui ne sont pas les nôtres et ils les laissent faire leur chemin et je vais faire le mien", a-t-il déclaré, tout en assurant ne pas être favorable à l'établissement d'un cordon sanitaire pour eux.
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