Plate-forme Plus pluriel, dont font partie les syndicats, les associations familiales, les entreprises et les organismes éducatifs du secteur subventionné, a appelé à une nouvelle concentration de véhicules dans toutes les villes d'Espagne pour ce dimanche, comme cela s'est produit le 22 novembre.
C'est la sixième mobilisation de la tribune – la dernière était ce mercredi devant les portes du Sénat – devant la LOMLOE, la réforme éducative plus connue sous le nom de « loi Celaá », et à laquelle cette plateforme s'oppose fermement, soit soumise au débat et au vote Le 23 décembre prochain en séance plénière du Sénat.
L'avis de la Commission d'Éducation de ce vendredi est celui qui sera voté mercredi prochain en séance plénière du Sénat, où le gouvernement a besoin de la majorité absolue de la Chambre car il s'agit d'une loi organique, un seuil acceptable pour le PSOE étant donné que Les groupes qui ont soutenu la norme au Congrès atteignent également la majorité absolue au Sénat.
La loi ne devrait être renvoyée au Congrès que si la plénière du Sénat approuvait un amendement « en direct » – des amendements qui n'ont pas été approuvés en Commission. Pour l'instant, le Congrès maintient ouvrir la possibilité d'un dernier débat le 29 décembre.
Le libellé de la « loi Celaá » envisage n'abandonnez pas les terres publiques pour les écoles à charte, la interdiction aux partis concertés de ségréguer selon le sexe et l'élimination du critère « demande sociale » des accords concertés en privilégiant, entre autres, l'augmentation des espaces publics.
Pour Más Plurales, la suppression de la « demande sociale » des centres privés soutenus par des fonds publics « laisse Voie libre pour l'Administration de supprimer les salles de classe dans les centres concertés et les ouvrir uniquement dans les centres publics », ce qui représente pour eux une « atteinte à la liberté » car ils comprennent que le droit des familles à choisir un centre pour leurs enfants est violé.
Mais en outre, la Plateforme a exprimé son préoccupation concernant le sujet de la religion, qui restera une offre obligatoire et volontaire pour les étudiants, mais comme nouveauté, elle ne sera pas prise en compte dans la note moyenne, car elle n'a pas de matière alternative. La Plateforme considère que ce changement « relègue la Religion au statut de matière de seconde zone, qui occupera une place décorative et secondaire dans le programme scolaire ».
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