L'ESPAGNOL: LES CHEFS DES PARTIS ABORTENT LA LÉGISLATURE LA PLUS COURTE AVEC DES REPROCHES MUTUELLES.
LE MONDE: ÉCHEC POLITIQUE. Le roi ne propose aucun candidat après que les partis ne parviennent pas à s'entendre sur un gouvernement / Compromís a présenté hier une proposition piège pour mettre en scène la solitude du PSOE à gauche / Sánchez accuse Iglesias de trahir ses électeurs et Rajoy dit qu'il a « des atouts » pour la campagne"
LE JOURNAL: SUSPENSION GÉNÉRALE. Felipe VI confirme l'impossibilité de former une majorité avec les résultats du 20-D/Compromís a tenté 'in extremis' un accord qui s'est heurté à Ciudadanos et Podemos.
INFOLIBRE : AUSBANC A ÉGALEMENT FAIT CHANTAGE À UNICAJA AVEC UNE POURSUITE POUR CLAUSES PLANCHER. Luis Pineda a proposé à un directeur de banque de baisser ses exigences dans le cadre d'une procédure contre Caja España devant le tribunal de León en échange d'argent. Le président d'Ausbanc a prévenu que l'établissement de crédit éviterait ainsi un désastre judiciaire « très important ». Le juge Pedraz associe ces pressions au paiement d'au moins 306.000 XNUMX euros. La sentence, deux jours avant la chute de Pineda et Miguel Bernad, était condamnatoire.
LE PAYS: L'IMPUISSANCE DES PARTIS CONDUIT LES ESPAGNOLS AUX SONDAGES. Les candidats se rejettent la responsabilité du blocus politique après l'échec du troisième tour d'audiences avec le Roi. Il y aura des élections en juin.
ABC: ÉCHEC DE LA POLITIQUE DU SPECTACLE. Le roi convoquera de nouvelles élections générales lundi, confirmant qu'aucun candidat n'a le soutien nécessaire pour former un gouvernement après quatre mois de négociations préalables à la campagne.
LA RAISON: 26-J DEUXIÈME TOUR. Sánchez tente le miracle du pré / Rajoy rentabilise sa cohérence / Iglesias baisse le rideau sur le PSOE / Rivera quitte le rôle de négociateur.
L'AVANT-GARDE: L'ÉCHEC DES PARTIS MÈNE À UNE RÉPÉTITION ÉLECTORALE INÉDITE. Le roi termine le troisième tour de contacts sans qu'aucun candidat n'ait le soutien / Une dernière tentative de compromis tombe dans l'oreille d'un sourd en raison du non de Ciudadanos et de Podemos / Les dirigeants ouvrent déjà la campagne avec des accusations mutuelles de blocage institutionnel.
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