L'ancienne sénatrice de Podemos, Celia Cánovas, témoigne ce jeudi comme témoin dans l'affaire « Neurona » car Le juge considère qu'il a « une connaissance directe » de son « état de blessure » en raison du prétendu vol d'argent de la formation « violette » qui aurait pu être commis à travers le soi-disant Fonds de Solidarité.
Cánovas sera interrogé à la demande de Vox, une des accusations populaires de « Neurona ». Cette demande a fait l'objet d'un recours de Podemos, qui considère que le Le « but initial » du parti dirigé par Santiago Abascal serait de rechercher de nouvelles pistes d’investigation pour « continuer à faire avancer la cause ».
Le Parquet a partiellement accédé à l'appel de la formation « pourpre » et a demandé au juge de clarifier les raisons pour lesquelles il a convoqué Cánovas. L'instructeur a cependant confirmé son intention de procéder à l'interrogatoire.
Le magistrat considère que Cánovas peut faire la lumière sur « les fonctions de la gérante », Rocío Esther Val, pour la mise en œuvre des prétendues primes, et sur « le prétendu détournement de l’argent de Podemos qui aurait pu être engagé via le Fonds de solidarité » au profit de l'Association de Communication Populaire 404.
Cependant, le juge a convenu avec Podemos que, concernant le contrat de 363.000 28 euros que le parti a signé avec Neurona Comunidad pour des travaux de conseil politique en vue des élections générales du 2019 avril XNUMX, "il ne semble pas" que Cánovas "peut fournir toute information supplémentaire."
ACCUSATION PRIVÉE
L'ancienne sénatrice d'En Comú Podem de Tarragone agit comme procureure privée dans cette affaire après avoir demandé à comparaître dans la procédure après avoir compris que la formation "violette" avait détourné des fonds et utilisé des dons d'agents publics pour dissimuler « une opération de blanchiment ».
Elle affirme que ses dons à Podemos depuis qu'elle est devenue sénatrice en 2015 s'élèvent à 25.000 XNUMX euros et assure qu'elle n'a pas pu connaître la destination donnée à ces fonds, raison pour laquelle elle se considère « endommagé par l’éventuel détournement de fonds signalé et qui fait l’objet de la présente procédure d’instruction. »
COFFRET SOLIDARITÉ
Le juge madrilène a réactivé l'enquête sur le Fonds de solidarité Podemos en mars dernier sur décision du tribunal provincial de Madrid. Il a alors demandé au parti de fournir le document par lequel La demande formulée par une association populaire de recevoir 50.000 XNUMX euros du fonds en question a été approuvée.
C'est l'un des actes prétendument illégaux qu'il a mentionnés l'ancien avocat de Podemos, José Manuel Calvente, dans la plainte qu'il a déposée en décembre 2019 contre la formation « violette » et à partir duquel l'affaire « Neurona » est partie.
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