Le président de la Xunta, Alfonso Rueda, a défiguré ce jeudi les « expressions » utilisées par le président de la Confédération espagnole des organisations d'entreprises (CEOE), Antonio Garamendi, qui, pour se défendre des critiques sur son salaire, a déclaré : « Pardonnez l'exemple, mais c'est comme quand il y a un viol et qu'on dit que la fille portait une mini-jupe. "Je n'accepte pas le poulpe comme animal de compagnie."
Garamendi s'est exprimé en ces termes dans une interview télévisée lorsqu'on lui a posé des questions sur le reproche que lui avait adressé le président de la Confédération des hommes d'affaires de Pontevedra (CEP), Jorge Cebreiros, qui avait déclaré que le salaire du président de l'association patronale ne semblait pas « sensible à la réalité » et avait prévenu qu'il pourrait « compliquer » la vie de la classe patronale.
Lorsqu'on lui a demandé s'il soutenait les critiques de Cebreiros à l'égard de Garamendi, Rueda a réitéré qu'il préférait "ne pas entrer" dans les évaluations concernant le salaire du président du patronat –près de 400.000 XNUMX euros–, mais il a déformé les propos avec lesquels il a défendu sa position.
“No me gustaron, se pueden defender las ideas sin recurrir a esas expresiones”, ha esgrimido, antes de insistir en que, las valoraciones sobre las retribuciones salariales dentro de la patronal y sobre si un caso concreto es “mucho o poco” las deja "pour eux".
«PLUS DE DIALOGUES»
Cela dit, il a fait valoir que sa position n'a pas changé par rapport à la dernière fois qu'on l'a interrogé sur le salaire de Garamendi, et que son opinion est qu'au-delà de la situation d'une personne, même s'il est président du patronat. ', le débat sur les augmentations de salaires est sur la table – avec un focus sur le salaire minimum interprofessionnel (SMI) – qu'ils considèrent comme « nécessaire » et qui touchent « plus de monde ».
Dans ce contexte, il a regretté qu'il n'y ait pas "plus de dialogue" entre les membres du gouvernement central et les représentants des entreprises, tout en tombant dans ce qu'il considère comme "des discussions et des manichéismes sur qui est le meilleur ou le pire".
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