La défense de l'ancien président de la Generalitat Quim Torra Ce jeudi, il a demandé à la Cour Constitutionnelle (TC) Quoi suspendre provisoirement la peine qui l'a condamné à 18 mois de déchéance, ainsi qu'à l'ordonnance d'« exécution illégale » de la peine prononcée par le Tribunal Supérieur de Justice de Catalogne (TSJC), contre laquelle il a déjà fait appel mercredi.
Dans son mémoire, l'avocat de Torra, Gonzalo Boye, demande au tribunal d'accepter la suspension « sans plus attendre et avant la procédure d'admission de l'appel ». Il inclut également la jurisprudence du TC, sur la base de laquelle il affirme que « le fait que la peine ait commencé à être exécutée illégalement ne constitue pas un obstacle à la suspension ».
La La défense de Torra a présenté lundi le recours en amparo contre l'arrêt de la Cour suprême (TS) qui a confirmé la peine, ainsi que contre l'arrêt du TSJC qui a ordonné son exécution, demandant la suspension des deux, et Boye dit dans la lettre au TC qu'il a appris « par différents médias » que le tribunal n'étudiera pas l'appel avant le 6, il demande donc aux magistrats de se mettre d'accord sur les suspensions avant d'admettre l'appel pour traitement.
Il souligne que la disqualification laisse le gouvernement au pouvoir, « avec la perspective sans précédent que cette situation pourrait durer des mois, dans une situation de pandémie, en attendant une décision de la Cour Constitutionnelle », et critique le fait que si la décision est retardée, cela pourrait empêcher Torra de se présenter aux prochaines élections législatives, bien qu'il ait fait appel de sa condamnation.
SUBSTITUTION TORRA « SANS EFFETS »
Selon le mémoire, si le TC accepte de suspendre les peines, Le renvoi de Torra du gouvernement serait sans effet, Pour lequel Boye revient sur le décret de remplacement du président publié mardi au Journal Officiel de la Generalitat (DOGC).
Le texte publié par le Gouvernement précise : « Ce décret sera sans effet, dans le cas où, conformément aux dispositions de la réglementation en vigueur, l'exécution de la sentence n° serait suspendue. 149/2019, du 19 décembre, émis par la Chambre civile et pénale du TSJC.
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